
Un bon recrutement ça vaut le coût, à l’instar, un mauvais casting peut s’avérer être un sacré coup dur pour une entreprise.
Petit tour d’horizons des coûts parfois cachés ou sous-estimés résultant d’une embauche infructueuse.
L’investissement, en termes de temps et d’argent, lié à la recherche des candidats en particulier pour la recherche de profils dits « pénuriques » est conséquent : rédaction de l’offre d’emploi, stratégie de recherche du talent clé, compréhension et ciblage de la personne clé, sourcing, approche des candidats, organisation d’entretiens de plusieurs séries d’entretiens, tests ou étude de cas, contrôle de référence, envoi de dossiers complets des profils retenus, etc.
Salaire, primes, avantages en nature, mutuelle, transport, etc. y compris les charges patronales représentent les coûts directs.
À son arrivée, le talent occupe l’attention de ses formateurs : il leur accapare un temps précieux habituellement mis à profit d’une mission donnée. Lors de cette période charnière, il n’est pas opérationnel le temps de son adaptation, donc inefficient.
Si le collaborateur quitte son emploi une fois sa période d’essai passée via un licenciement ou une rupture conventionnelle, alors ce départ engendre des dépenses supplémentaires.
Il se crée un effet boule de neige : les équipes sont sous tension et démotivées car obligées de compenser les lacunes du collaborateur, les clients ou fournisseurs sont mécontents, le chiffre d’affaires est en baisse et l’image de l’entreprise s’en retrouve indubitablement ternie.
En effet, gérer les conséquences d’un mauvais recrutement coûte finalement plus cher que de prévoir dès le départ une stratégie pour trouver la perle rare. Heureusement, Grey Search Africa est l’expert en la matière (grise) !
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